ECOSOC, L'ubérisation de la santé : quel nouveau modèle économique et collaboratif peut-on envisager ? Tchad
Clara GUISET
le 13/01/2018 à 17:58 Citer ce message
Dans un monde en métamorphose redessiné par des améliorations, technologiques, économiques profondes et rapides, l’ensemble des acteurs de la santé est concerné et doit jouer collectif pour maintenir cette excellence médicale efficiente au bénéfice des personnes, patients, consommateurs et citoyens. Le regard des acteurs de santé sur l’évolution des autres secteurs d’activité peut aussi nourrir leurs réflexions et enrichir leurs stratégies.
Le Tchad compte environ 14 000 000 habitants, et compte entrer dans une transition démographique devant lui permettre d’accéder au dividende démographique. Les conditions d’accès du dividende démographique sont entre autres une population en bonne santé et formée. L’amélioration de la santé maternelle et infantile et la maitrise de la fécondité par des choix éclairés des individus et des couples sont essentielles pour cette transition démographique.
Au Tchad, l’espérance de vie ne dépasse pas 53 ans. Le taux de mortalité figure parmi les plus élevés du monde. En cause : un système de santé qui reste sous-développé, marqué par des infrastructures vétustes et un manque de personnel qualifié particulièrement pénalisant, on compte en moyenne 3,7 médecins pour 100 000 habitants et 2,1 infirmières et sages-femmes pour 100 000 habitants .On remarque que depuis les années soixante l’espérance de vie ne cesse d’augmenter , et le pays compte continuer cette augmentation et souhaite atteindre 55 ans en 2020 pour cela des améliorations technologiques sont nécessaires dans le pôle médical.
Pour l’instant le but du Tchad n’est pas d’arriver à l’ubérisation de la santé, son but est d’abord d’assurer l’accès de toute la population à des services de base de qualité. Pour cela des stratégies sont mises en place comme : l’Amélioration de l’efficacité du système de santé, l’amélioration de l’accès aux services et la qualité de prestations des soins, la réduction de la mortalité et la morbidité liées aux problèmes prioritaires de santé de la population en général et plus particulièrement ceux de la santé de la mère et de l’enfant ou encore le renforcement des interventions contre les principales maladies
Le Tchad compte environ 14 000 000 habitants, et compte entrer dans une transition démographique devant lui permettre d’accéder au dividende démographique. Les conditions d’accès du dividende démographique sont entre autres une population en bonne santé et formée. L’amélioration de la santé maternelle et infantile et la maitrise de la fécondité par des choix éclairés des individus et des couples sont essentielles pour cette transition démographique.
Au Tchad, l’espérance de vie ne dépasse pas 53 ans. Le taux de mortalité figure parmi les plus élevés du monde. En cause : un système de santé qui reste sous-développé, marqué par des infrastructures vétustes et un manque de personnel qualifié particulièrement pénalisant, on compte en moyenne 3,7 médecins pour 100 000 habitants et 2,1 infirmières et sages-femmes pour 100 000 habitants .On remarque que depuis les années soixante l’espérance de vie ne cesse d’augmenter , et le pays compte continuer cette augmentation et souhaite atteindre 55 ans en 2020 pour cela des améliorations technologiques sont nécessaires dans le pôle médical.
Pour l’instant le but du Tchad n’est pas d’arriver à l’ubérisation de la santé, son but est d’abord d’assurer l’accès de toute la population à des services de base de qualité. Pour cela des stratégies sont mises en place comme : l’Amélioration de l’efficacité du système de santé, l’amélioration de l’accès aux services et la qualité de prestations des soins, la réduction de la mortalité et la morbidité liées aux problèmes prioritaires de santé de la population en général et plus particulièrement ceux de la santé de la mère et de l’enfant ou encore le renforcement des interventions contre les principales maladies