Côte d'Ivoire - Quelles résolutions adopter contre les actes terroristes ?
Mehdi BOUGUERRA EZZINA
le 27/02/2018 à 12:45 Citer ce message
Commission : Conseil de sécurité
Question : Quelles résolutions adopter contre les actes terroristes ?
Auteur : Côte d’Ivoire
Lors de l’année 2017, 22 487 actes terroristes ont été recensé par le Centre international d’analyse du Terrorisme et de l’Insurrection Jane (JTIC). Ils se sont déroulés non seulement au Moyen-Orient mais également partout dans le monde causant ainsi 18 475 victimes de toutes nationalités. Les organisations perpétrant ces attaques, manipulent de nombreuses personnes en leur inculquant une idéologie religieuse, politique et économique biaisée. Elles peuvent même recevoir des aides de certains états, qui utilisent ces organisations à leurs profils. Il en existe plusieurs, telles qu’Al Qaida ou l’État islamique d’Irak et du Levant (Daech) pour ne citer que les plus connut. La Côte d’Ivoire continuera, comme elle l’a toujours été, d’être fermement engagée aux côtés des autres États dans le combat contre le terrorisme qui est l’une de notre priorité absolue. Et cela notamment à travers une coopération efficace en matière de renseignements.
Contre ces actes de violence, une prise de position ferme doit être prise par la communauté internationale. Depuis maintenant plusieurs années un climat d’insécurité règne, en témoigne la vague de panique s’étant emparée les Parisiens, le dimanche 15 novembre 2015 après l’explosion d’un pétard sur la place de la République dans la ville de Paris. La sécurité étant un droit humain fondamental et dans la continuer de la résolution A/RES/71/291. Des actions visant à augmenter les mesures de sécurité face au terrorisme devront être prise, à l’image de la mise en place de centres de formations de force antiterroriste prévue pour 2018 en Côte d’Ivoire.
En plus d’assurer la sécurité des civils, nous devrons également attaquer les positions connues de ces organisations afin de les affaiblir. La coalition internationale contre Daech est un exemple de réussite, les différentes frappes aériennes ainsi que l’intervention des combattants kurdes et de l’armée irakienne armée par celle-ci ont permis de récupérer 14% du territoire que l’État islamique occupait. Il ne faudra également pas négliger l’importance d’Internet et la nécessiter de garantir la cyber-sécurité pour empêcher les terroristes de gagner plus sympathisants.
Comme le dit Adam Baron, « la guerre contre le terrorisme est notre guerre ». Ainsi les pays du monde entier se doivent d’être unis pour faire face à cette menace, que ce soit au sein des Nations Unies, par le biais de coalitions, comme celle des pays arabes, dont la Côte d’Ivoire fait partie, ou encore avec le support d’associations humanitaires dont le rôle n’est pas à oublier. Une unité internationale est aujourd’hui nécessaire non seulement pour terrasser notre ennemi commun mais également pour protéger les valeurs humaines que nous partageons tous. Et pour cela nous nous devons de passer au-delà de nos conflits ou de nos intérêts.
Cependant tout cela ne réglera pas réellement le problème du terrorisme. En effet ces actions permettrons peut être de résoudre certains de nos problème actuel sur le sujet, voir même de démanteler quelques groupes terroristes, mais serions pour autant à l’abri de l’apparition de nouvelles menaces de ce genre ? C’est en gardant à l’esprit la déclaration de Malala Yousafzai, prix Nobel de la paix ; « avec des armes, on peut éliminer des terroristes. Avec l’éducation, on peut éliminer le terrorisme » que notre délégation affirme avec force que l’instruction est la seule est l’unique solution effective contre la haine et la violence. Les idées démocratiques se doivent d’être partagées et inculquer à tous afin de pouvoir crée une société de débat, d’écoute et d’entraide sans laquelle les inégalités et les conflits trouveront toujours le moyen de voir le jour.
Il n’y aura pas besoin de rappeler l’importance des décisions qui seront prises dans cette assemblée au vu des répercussions qu’elles auront sur la communauté internationale. Notre devoir sera de passer au-delà de nos différentes querelles afin de pouvoir régler ce problème qui perdure depuis maintenant trop longtemps. Une entraide entre tous les pays du monde, aussi bien en terme d'échange d'informations que sur un point de vue purement militaire devra être mener dans le but d'une paix mondiale, durable et dans le respect des droits de l’homme.
Question : Quelles résolutions adopter contre les actes terroristes ?
Auteur : Côte d’Ivoire
Lors de l’année 2017, 22 487 actes terroristes ont été recensé par le Centre international d’analyse du Terrorisme et de l’Insurrection Jane (JTIC). Ils se sont déroulés non seulement au Moyen-Orient mais également partout dans le monde causant ainsi 18 475 victimes de toutes nationalités. Les organisations perpétrant ces attaques, manipulent de nombreuses personnes en leur inculquant une idéologie religieuse, politique et économique biaisée. Elles peuvent même recevoir des aides de certains états, qui utilisent ces organisations à leurs profils. Il en existe plusieurs, telles qu’Al Qaida ou l’État islamique d’Irak et du Levant (Daech) pour ne citer que les plus connut. La Côte d’Ivoire continuera, comme elle l’a toujours été, d’être fermement engagée aux côtés des autres États dans le combat contre le terrorisme qui est l’une de notre priorité absolue. Et cela notamment à travers une coopération efficace en matière de renseignements.
Contre ces actes de violence, une prise de position ferme doit être prise par la communauté internationale. Depuis maintenant plusieurs années un climat d’insécurité règne, en témoigne la vague de panique s’étant emparée les Parisiens, le dimanche 15 novembre 2015 après l’explosion d’un pétard sur la place de la République dans la ville de Paris. La sécurité étant un droit humain fondamental et dans la continuer de la résolution A/RES/71/291. Des actions visant à augmenter les mesures de sécurité face au terrorisme devront être prise, à l’image de la mise en place de centres de formations de force antiterroriste prévue pour 2018 en Côte d’Ivoire.
En plus d’assurer la sécurité des civils, nous devrons également attaquer les positions connues de ces organisations afin de les affaiblir. La coalition internationale contre Daech est un exemple de réussite, les différentes frappes aériennes ainsi que l’intervention des combattants kurdes et de l’armée irakienne armée par celle-ci ont permis de récupérer 14% du territoire que l’État islamique occupait. Il ne faudra également pas négliger l’importance d’Internet et la nécessiter de garantir la cyber-sécurité pour empêcher les terroristes de gagner plus sympathisants.
Comme le dit Adam Baron, « la guerre contre le terrorisme est notre guerre ». Ainsi les pays du monde entier se doivent d’être unis pour faire face à cette menace, que ce soit au sein des Nations Unies, par le biais de coalitions, comme celle des pays arabes, dont la Côte d’Ivoire fait partie, ou encore avec le support d’associations humanitaires dont le rôle n’est pas à oublier. Une unité internationale est aujourd’hui nécessaire non seulement pour terrasser notre ennemi commun mais également pour protéger les valeurs humaines que nous partageons tous. Et pour cela nous nous devons de passer au-delà de nos conflits ou de nos intérêts.
Cependant tout cela ne réglera pas réellement le problème du terrorisme. En effet ces actions permettrons peut être de résoudre certains de nos problème actuel sur le sujet, voir même de démanteler quelques groupes terroristes, mais serions pour autant à l’abri de l’apparition de nouvelles menaces de ce genre ? C’est en gardant à l’esprit la déclaration de Malala Yousafzai, prix Nobel de la paix ; « avec des armes, on peut éliminer des terroristes. Avec l’éducation, on peut éliminer le terrorisme » que notre délégation affirme avec force que l’instruction est la seule est l’unique solution effective contre la haine et la violence. Les idées démocratiques se doivent d’être partagées et inculquer à tous afin de pouvoir crée une société de débat, d’écoute et d’entraide sans laquelle les inégalités et les conflits trouveront toujours le moyen de voir le jour.
Il n’y aura pas besoin de rappeler l’importance des décisions qui seront prises dans cette assemblée au vu des répercussions qu’elles auront sur la communauté internationale. Notre devoir sera de passer au-delà de nos différentes querelles afin de pouvoir régler ce problème qui perdure depuis maintenant trop longtemps. Une entraide entre tous les pays du monde, aussi bien en terme d'échange d'informations que sur un point de vue purement militaire devra être mener dans le but d'une paix mondiale, durable et dans le respect des droits de l’homme.