TCHAD: Éthique: Les drones : Entre solutions technologiques et problèmes éthiques
Lola GILLET
le 14/01/2018 à 17:56 Citer ce message
Á ses débuts, le drone était exclusivement réservé aux militaires. Mais le processus s’est vu évolué et a été développer à toutes les échelles, ce qui pose désormais un problème de taille. En effet, en vue des cyberattaques précédemment évoquées, et du terrorisme en plein essor, il serait inquiétant que les drones soient contrôlés par n’importe quel individu. Par conséquent, cette avancée technologique présente de véritables problèmes éthiques.
En 2014, le Tchad, étant conscient des dangers encourus, s’est allié au G5 afin de combattre le terrorisme et d’assurer sa sécurité. Conséquemment, il s’est vu s’associer avec les pays du Sahel (G5 Sahel) afin de contribuer à l’opération « Barkhane », organisée par l’armée française, qui vise à lutter contre la prolifération du terrorisme et le trafique transfrontalier. Aujourd’hui, en 2018 ce projet est toujours d’actualité, et les militaires ont pour achèvement de rapatrier des drones afin de garantir une défense et une sécurité maximale. Cependant la tâche pourrait s’avérer compliquée puisque la secte terroriste nigériane Boko Haram utilise désormais des drones pour commettre leurs attentats.
De plus, en 2012, puis en 2015, le Tchad s’est vu émettre des législations sur l’aviation, et les a récemment mis à jour, de sorte que, désormais, le Tchad a décrété que des normes internationales devaient être établies, comme, par exemple, imposer des « consignes de navigabilité » pour la sécurité civile (Article I.1.10.2), ou de restreindre l’importation d’origine étrangère en mettant en place des « autorisations » (Article II.1.6) afin de diminuer les risques et les trafiques ; ou encore en délivrant des certificats ou des licences de navigabilité « conformément aux dispositions fixées par voie réglementaire » (Article II.3.1) afin de limiter au maximum les détournements.
Pour conclure, même si le Tchad n’est pas un des pays les plus développé, il joue un rôle majeur dans la lutte contre le terrorisme dans les pays du Sahel par son affectation au combat et ces actions sur la réglementation.
En 2014, le Tchad, étant conscient des dangers encourus, s’est allié au G5 afin de combattre le terrorisme et d’assurer sa sécurité. Conséquemment, il s’est vu s’associer avec les pays du Sahel (G5 Sahel) afin de contribuer à l’opération « Barkhane », organisée par l’armée française, qui vise à lutter contre la prolifération du terrorisme et le trafique transfrontalier. Aujourd’hui, en 2018 ce projet est toujours d’actualité, et les militaires ont pour achèvement de rapatrier des drones afin de garantir une défense et une sécurité maximale. Cependant la tâche pourrait s’avérer compliquée puisque la secte terroriste nigériane Boko Haram utilise désormais des drones pour commettre leurs attentats.
De plus, en 2012, puis en 2015, le Tchad s’est vu émettre des législations sur l’aviation, et les a récemment mis à jour, de sorte que, désormais, le Tchad a décrété que des normes internationales devaient être établies, comme, par exemple, imposer des « consignes de navigabilité » pour la sécurité civile (Article I.1.10.2), ou de restreindre l’importation d’origine étrangère en mettant en place des « autorisations » (Article II.1.6) afin de diminuer les risques et les trafiques ; ou encore en délivrant des certificats ou des licences de navigabilité « conformément aux dispositions fixées par voie réglementaire » (Article II.3.1) afin de limiter au maximum les détournements.
Pour conclure, même si le Tchad n’est pas un des pays les plus développé, il joue un rôle majeur dans la lutte contre le terrorisme dans les pays du Sahel par son affectation au combat et ces actions sur la réglementation.