TCHAD: Éthique: Comment encadrer les usages du bionique sur les plans éthiques, sécuritaires ou juridiques ?
Lola GILLET
le 14/01/2018 à 17:54 Citer ce message
Aujourd’hui, l’homme bionique ne concerne plus le domaine de la science fiction. En effet, après de nombreuses améliorations techniques, biologiques et scientifiques, la société humaine s'est considérablement transformée, ainsi que l'Homme. Des machines peuvent désormais remplacer des organes défectueux, modifiant directement l'Homme, son individualité, et son physique. En conséquence, des problèmes éthiques, sécuritaires et juridiques apparaissent de part et d’autre.
Conscient de l’importance de cette évolution, le Tchad crée en 2010 son comité national de bioéthique. Le CNBT (Comité National de Bioéthique au Tchad) a pour objectif principal d’encadrer les recherches scientifiques dans le respect de la nature, et la dignité humaine. De façon plus large, il doit aider le pays à prévenir les populations contre des pratiques et des expérimentations nuisibles et à préserver l’environnement, et doit fournir des avis sur les trois problèmes ci-dessus. Depuis, l’UNESCO accompagne le Tchad et soutient sa création, son renforcement et son suivi, puisque le Tchad constitue une des plateformes essentielles en vue de la mise en œuvre des instruments normatifs internationaux.
De plus, le Tchad était présent en tant qu’observateur lors de la deuxième session du Comité intergouvernemental de bioéthique (CIGB) qui s’est tenue à la Maison de l’UNESCO, à Paris, en 2001. Cela prouve donc que celui-ci portait déjà un intérêt majeur à ce qui allait devenir l’un des domaines les plus conséquents. Par suite, en mai 2008, le Tchad contracte un engagement dans le cadre national en vue d’une procédure concernant la biosécurité à travers son pays, afin de préserver au mieux sa population en vue des futures conséquences du bionique.
Conséquemment, malgré un bas niveau en avancée technologique et scientifique, le Tchad se voit tout de même fortement impliqué dans la bionique par ces engagements et son intérêt, qui sera sûrement, dans un futur proche, l’un de ses domaines principaux, et qui nous réserve bien des surprises.
Conscient de l’importance de cette évolution, le Tchad crée en 2010 son comité national de bioéthique. Le CNBT (Comité National de Bioéthique au Tchad) a pour objectif principal d’encadrer les recherches scientifiques dans le respect de la nature, et la dignité humaine. De façon plus large, il doit aider le pays à prévenir les populations contre des pratiques et des expérimentations nuisibles et à préserver l’environnement, et doit fournir des avis sur les trois problèmes ci-dessus. Depuis, l’UNESCO accompagne le Tchad et soutient sa création, son renforcement et son suivi, puisque le Tchad constitue une des plateformes essentielles en vue de la mise en œuvre des instruments normatifs internationaux.
De plus, le Tchad était présent en tant qu’observateur lors de la deuxième session du Comité intergouvernemental de bioéthique (CIGB) qui s’est tenue à la Maison de l’UNESCO, à Paris, en 2001. Cela prouve donc que celui-ci portait déjà un intérêt majeur à ce qui allait devenir l’un des domaines les plus conséquents. Par suite, en mai 2008, le Tchad contracte un engagement dans le cadre national en vue d’une procédure concernant la biosécurité à travers son pays, afin de préserver au mieux sa population en vue des futures conséquences du bionique.
Conséquemment, malgré un bas niveau en avancée technologique et scientifique, le Tchad se voit tout de même fortement impliqué dans la bionique par ces engagements et son intérêt, qui sera sûrement, dans un futur proche, l’un de ses domaines principaux, et qui nous réserve bien des surprises.