COMITE ETHIQUE - AFRIQUE DU SUD - LYCEE SAJEV KÜÇÜK PRENS
AKSOY SİNEMİS
le 15/12/2017 à 10:20 Citer ce message
Commission: COMITE ETHIQUE
Question: Comment colmater les brèches des systèmes informatiques ultra sécurisés suite aux cyber attaques mondiales ? Les drones : entre solutions technologiques et problèmes éthiques. Comment encadrer les usages du bionique sur les plans éthiques, sécuritaires ou juridiques ?
Auteur: Afrique du Sud (AKSOY Sinemis)
Sachant que les entreprises africaines ne réalisent pas le danger des cyber-attaques, la plupart des entreprises africaines, la cyber-sécurité ne constitue pas une priorité. Elle se limite souvent à un pack de logiciels anti-virus à installer sur les ordinateurs. Pourtant, le risque et le coût des cyber-attaques sont très élevés, comme l'on vécut de grandes entreprises dans le monde, après la récente attaque portant le nom de « Wannacry ».
Riaan Badenhorst, directeur général de Kaspersky Lab Africa, filiale africaine d'une des plus grandes entreprises spécialisées dans la sécurité informatique au monde, revient sur les périls de la cyber-criminalité et l'impératif pour les entreprises du continent de dresser des remparts technologiques pour limiter ses dégâts.
Nous constatons la menace que représentent les logiciels malveillants, surtout les chevaux de Troie bancaires et les ransomewares sur les pays africains. Les attaques de phishing sont également fréquentes dans la région. Le vol et la perte de périphériques mobiles, les logiciels malveillants pour smartphones et tablettes devraient également être considérés comme des menaces qui affectent de plus en plus les entreprises et des utilisateurs en Afrique.
Dans notre pays, le nombre d'utilisateurs concernés est de 46,8% pour le local et 12,9% pour les menaces sur le Web.
Cependant, étant donné que la disponibilité de l'Internet et du haut débit a été limitée dans de nombreux pays africains, les personnes et les entreprises restent vulnérables aux cyberattaques. Et bien que nous ayons vu certains pays africains commencer à comprendre l'importance de la cybercriminalité, il faut faire plus en Afrique en termes de sensibilisation.
Au cours des dernières années, la sensibilisation à la cyber-sécurité a augmenté. Cela est évidemment très positif. Investir dans la protection nécessaire restera la clé pour se prémunir contre les risques.
Sachant que les observateurs de requins en Afrique du Sud utilisent la technologie des drones pour suivre l’activité des requins le long de la Fameuse côte, False Bay Coastline, qui abrite de nombreux grands requins blancs de la planète. Le repérage des requins aide à recueillir des données importantes sur le comportement de l’espèce et à maintenir les baigneurs et les surfeurs à l’abri du prédateur.
Nous incorporons maintenant la technologie drone dans notre repérage. Nous les utilisons pour améliorer notre capacité à identifier les requins et à identifier les requins potentiellement dangereux.
Les spécialistes ont prévenu qu’il n’y avait plus que 350 à 520 requins blancs vivant sur la côte sud-africaine, soit 50 % de moins que ce que l’on pensait auparavant.
Sachant que les avancées de l’informatique ouvrent la voie à la création d’organes artificiels et d’implants surveillant la santé des patients.
La révolution numérique réussit à engendrer de véritables miracles. Trois douzaines de personnes de par le monde, bien qu’aveugles depuis des années, ont ainsi retrouvé partiellement la vue grâce à un prototype de rétine artificielle implanté dans un de leurs yeux.
Question: Comment colmater les brèches des systèmes informatiques ultra sécurisés suite aux cyber attaques mondiales ? Les drones : entre solutions technologiques et problèmes éthiques. Comment encadrer les usages du bionique sur les plans éthiques, sécuritaires ou juridiques ?
Auteur: Afrique du Sud (AKSOY Sinemis)
Sachant que les entreprises africaines ne réalisent pas le danger des cyber-attaques, la plupart des entreprises africaines, la cyber-sécurité ne constitue pas une priorité. Elle se limite souvent à un pack de logiciels anti-virus à installer sur les ordinateurs. Pourtant, le risque et le coût des cyber-attaques sont très élevés, comme l'on vécut de grandes entreprises dans le monde, après la récente attaque portant le nom de « Wannacry ».
Riaan Badenhorst, directeur général de Kaspersky Lab Africa, filiale africaine d'une des plus grandes entreprises spécialisées dans la sécurité informatique au monde, revient sur les périls de la cyber-criminalité et l'impératif pour les entreprises du continent de dresser des remparts technologiques pour limiter ses dégâts.
Nous constatons la menace que représentent les logiciels malveillants, surtout les chevaux de Troie bancaires et les ransomewares sur les pays africains. Les attaques de phishing sont également fréquentes dans la région. Le vol et la perte de périphériques mobiles, les logiciels malveillants pour smartphones et tablettes devraient également être considérés comme des menaces qui affectent de plus en plus les entreprises et des utilisateurs en Afrique.
Dans notre pays, le nombre d'utilisateurs concernés est de 46,8% pour le local et 12,9% pour les menaces sur le Web.
Cependant, étant donné que la disponibilité de l'Internet et du haut débit a été limitée dans de nombreux pays africains, les personnes et les entreprises restent vulnérables aux cyberattaques. Et bien que nous ayons vu certains pays africains commencer à comprendre l'importance de la cybercriminalité, il faut faire plus en Afrique en termes de sensibilisation.
Au cours des dernières années, la sensibilisation à la cyber-sécurité a augmenté. Cela est évidemment très positif. Investir dans la protection nécessaire restera la clé pour se prémunir contre les risques.
Sachant que les observateurs de requins en Afrique du Sud utilisent la technologie des drones pour suivre l’activité des requins le long de la Fameuse côte, False Bay Coastline, qui abrite de nombreux grands requins blancs de la planète. Le repérage des requins aide à recueillir des données importantes sur le comportement de l’espèce et à maintenir les baigneurs et les surfeurs à l’abri du prédateur.
Nous incorporons maintenant la technologie drone dans notre repérage. Nous les utilisons pour améliorer notre capacité à identifier les requins et à identifier les requins potentiellement dangereux.
Les spécialistes ont prévenu qu’il n’y avait plus que 350 à 520 requins blancs vivant sur la côte sud-africaine, soit 50 % de moins que ce que l’on pensait auparavant.
Sachant que les avancées de l’informatique ouvrent la voie à la création d’organes artificiels et d’implants surveillant la santé des patients.
La révolution numérique réussit à engendrer de véritables miracles. Trois douzaines de personnes de par le monde, bien qu’aveugles depuis des années, ont ainsi retrouvé partiellement la vue grâce à un prototype de rétine artificielle implanté dans un de leurs yeux.